La peinture çe ce sent, on ne sait pas pourquoi, il n`y a rien à dire, chaque amateur, y trouve son plaisir, un plaisir qui va au fil des ans, en augmentant.

Le reste nèst que dèjeunes de soleil, il vous emballe, et puis, cèst le contraire avec le temps, on ne reszent plus rien.

Jesús ne suit pas la mode, il écpute sol coeur, ce que es rare actuellement, ce sont les peintres comme lui, que sont les vrais tèmoins le leur temps. Bravo, Gallego.

                  Pierre Ramel

                  VicePresident du Salón dÀutomme

                  París – 1985